Il n'est peut-être pas impossible que l'eau se souvienne.
Il n'est peut-être pas impossible qu'elle soit sensible à nos humeurs, à nos vibrations...
Et que peut-être l'encre se diffusant à son contact en révèle le discours, le rend visible, lisible.
Marchons un peu dans les pas du fantasque Masaru Emoto, prêtons-lui crédit et laissons gambader notre imagination et faire le hasard ! Etendons le concept et posons nous en explorateurs conscients de mondes "autres"...
Nous utiliserons pour ce faire le médium photographique et remettrons au goût du jour la lanterne magique en l'adaptant aux besoins de l'expérience par le biais d'un aquarium et d'un éclairage de fortune, sans oublier tous les bienfaits des subterfuges de la fantasmagorie.
Voilà, nous sommes prêts -sur un postulat purement ludique- à refaire le monde.