
Revenir s'asseoir près du tombeau de Maillol.
Et au coeur de l'automne ressentir la chaleur de l'été passé et le calme serein de l'oubli.
Le bruit des pas sur le chemin et le souffle du vent dans les pins.
Poser son sac. Respirer. Regarder.
Dans l'anodin, l'essentiel. Et s'en contenter.